Il commence à lui toucher les fesses : Haaland explose, Donnarumma le retient lors d’Italie–Norvège

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Haaland
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Un choc sous tension qui a pris feu d’une manière inattendue


San Siro pensait vivre une soirée tranquille. L’Italie voulait sauver la face, la Norvège cherchait à confirmer sa montée en puissance… puis Gianluca Mancini a eu une idée qui a changé tout le scénario : provoquer Erling Haaland.


Oui, provoquer Haaland, l’homme qui ne connaît que deux états : calme… ou mode carnivore activé.


Ce dimanche soir, lors du dernier match du groupe I des qualifications pour la Coupe du monde 2026, le colosse norvégien a d’abord encaissé la provocation. Ensuite, il a explosé. Et le stade entier a compris qu’il venait d’être réveillé au mauvais moment.


L’Italie démarre fort… mais oublie le mode “urgence absolue”


Devant plus de 69 000 spectateurs, la Nazionale a parfaitement lancé la rencontre.


Francesco Pio Esposito, nouvelle pépite italienne, ouvre le score et laisse croire au miracle. Sauf que l’Italie avait besoin de neuf buts d’écart pour gratter la première place. Neuf. Un Everest.


La machine azzurra a donc contrôlé, dominé, tourné autour du ballon… mais sans jamais déclencher l’incendie offensif nécessaire. Une habitude récente qui commence à fatiguer tout un pays.


La Norvège frappe, puis la scène improbable : Haaland vs Mancini


Après la pause, Antonio Nusa égalise sur une action digne d’un bulldozer lancé à pleine vitesse.


Score : 1-1.


Ambiance : électrique.


Et soudain, dans la surface italienne, un geste étrange. Haaland l’expliquera lui-même plus tard :


« Il a commencé à me toucher les fesses. Je me suis dit : mais qu’est-ce qu’il fait ? »


La phrase est lunaire. L’effet est brutal.


Haaland se retourne, bouillonne, veut en découdre. Il faut alors Gianluigi Donnarumma, son coéquipier à Manchester City, pour le retenir et éviter un début d’incendie international.


Ironie du sort : cette provocation va devenir le carburant parfait.


 

Haaland enclenche le mode destruction pendant que l’Italie regarde


À partir de là, Haaland n’est plus un attaquant : il devient un projecteur braqué sur le but italien.


78e minute :


Reprise de volée venue d’un autre monde. 2-1.


79e minute :


Mauvaise relance italienne. Haaland bondit dessus. 3-1.


San Siro se demande encore ce qu’il vient de se passer.

La Nazionale, elle, voit défiler les souvenirs douloureux de ses derniers barrages ratés.


Puis, dans le temps additionnel, Jorgen Strand Larsen ajoute un quatrième but (90e+3). Le coup de massue final.


Le bilan : la Norvège en fête, l’Italie en panique


Haaland termine cette phase éliminatoire avec 16 buts en 8 matchs, une performance qui ferait rougir un algorithme de jeu vidéo.


La Norvège, elle, retrouve enfin la Coupe du monde, une première depuis 1998.


Haaland l’avait promis : il voulait ramener son pays sur la scène mondiale. Il l’a fait, avec la manière.


L’Italie, de son côté… retourne au cauchemar.


Barrage en mars. Encore.


C’est par cette porte qu’elle a été éliminée pour les Mondiaux 2018 et 2022.


L’angoisse est totale, les tifosi sont blêmes, et l’histoire menace de se répéter.


La punchline finale du cyborg


Interrogé après le match, Haaland conclut avec un sourire carnassier :


« Après ça, j’ai marqué deux buts, on gagne 4-1… donc merci à lui ! »


Il fallait vraiment éviter d’énerver Erling Haaland.

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