Miss Univers 2025 : une ambiance digne d’un mercato… avec un ancien du PSG en bonus

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Claude Makélélé
Claude Makélélé


Quand un ex-parisien troque la pelouse pour les paillettes… puis finalement non


À la base, tout semblait réglé comme une finale de Ligue des champions : la 74ᵉ édition de Miss Univers, programmée en Thaïlande, devait accueillir une star inattendue dans son jury. Pas une chanteuse, pas un milliardaire, mais… un ancien milieu du PSG. Oui, oui, entre deux passes en retrait et trois interviews en costard, l’ex-footballeur devait distribuer des notes à des reines de beauté. On imaginait déjà un commentaire du type : « Bonne posture, mais pas assez agressive dans le pressing des talons-aiguilles ».


Sauf que, quelques heures avant le grand show, plot twist. L’ex-Parc des Princes boycotte l’événement façon mercato surprise. Un post Instagram, ton solennel, presque digne d’un départ de club :


« Je ne pourrai pas assister à Miss Univers 2025 pour des raisons personnelles imprévues. J’ai la plus haute estime pour le concours et ses valeurs d’émancipation, de diversité et d’excellence. »


En résumé : bye-bye les diadèmes, bonjour l’imprévu. Classe, propre, sans faute… presque comme une sortie de balle réussie avec Verratti à l’époque.


Miss Univers 2025 : un jury façon VAR… mais sans les caméras


À peine le temps d’analyser ce forfait que l’ambiance tourne au polar. Omar Harfouch, musicien franco-libanais (lui aussi juge), décide de quitter la table. Pas pour un problème de maquillage trop brillant… mais parce qu’il assure que le Top 30 avait été verrouillé avant même qu’il ne s’assoie.


Un « vote secret ». Sans arbitrage vidéo. Sans oreillette. On imagine la scène : « Bonjour, merci d’être juré, mais en fait, c’est déjà fini, vous pouvez prendre des petits fours. »


Ce départ soudain donne l’impression que Miss Univers a piqué l’idée des votes cachés de la FIFA… sauf qu’ici, on choisit une couronne, pas un Mondial au Qatar.


 

Dérapages en coulisses et karma express sur le podium


Comme si tout cela ne suffisait pas, flashback sur novembre : un épisode pas vraiment digne d’un concours glamour. Le directeur du concours, devant un micro, se laisse aller à une remarque franchement déplacée envers Miss Mexique. Un discours, un mot de trop… puis intervention de la sécurité. Un peu comme un coach expulsé pour avoir disputé un hors-jeu imaginaire.


Sauf que le karma, lui, ne prend jamais de pause. Quelques semaines plus tard, qui remporte la couronne ? Miss Mexique ! Fatima Bosch, au milieu de 125 participantes. Un retournement de situation façon finale Argentine – France : personne ne l’avait vu venir, mais tout le monde en parlera.


Même la Française Ève Gilles s’en sort bien, en accrochant une place dans le top 30. Pas de couronne, mais une performance digne d’une qualification en Ligue Europa : on applaudit, on espère mieux la prochaine fois.


Et au final ? Miss Univers continue d’être… universellement imprévisible


Entre un ex-joueur du PSG qui se retire comme en fin de contrat, un jury qui fuit plus vite qu’un mercato raté, un vote secret et un directeur qui devrait peut-être revoir ses discours, Miss Univers 2025 nous a offert un spectacle digne d’un feuilleton sportif. Pas besoin de prolongations, les rebondissements sont déjà là.


Résultat : la compétition n’a peut-être jamais été aussi… belle dans le chaos.

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