Victor Osimhen, l’homme qui valait 75 millions… mais que personne ne veut (encore) acheter

Ghnitcha
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Victor Osimhen

 

Le mercato est sur le point de rouvrir ses portes, les valises sont prêtes, les clubs s’agitent en coulisses… sauf Victor Osimhen. Lui, il attend. Et pendant que l’Europe du foot s’agite, lui reste planté là, au bord du quai des transferts, avec ses rêves de grandeur et un prix qui fait fuir même les clubs les plus dépensiers. Le feuilleton de l'été pourrait bien porter son nom — encore une fois.

L'ancien roi de Galatasaray, désormais sans royaume


Prêté la saison dernière à Galatasaray, Osimhen s’est transformé en machine à buts du côté d’Istanbul. Bilan : des défenses traumatisées, des supporters amoureux et des recruteurs européens en alerte maximale. L’international nigérian avait même un pied et demi en Arabie Saoudite, direction Al-Hilal, qui était prêt à lui construire un palais en billets de banque. Un contrat doré, un tapis rouge, et un salaire tout droit sorti d’un conte des Mille et Une Nuits.

Mais voilà. Plot twist. Osimhen a finalement dit non. Il a snobé les pétrodollars pour rester sur le Vieux Continent. Une décision saluée par certains, incomprise par d’autres, mais surtout, qui a mis Naples dans une position très inconfortable.

Naples veut encaisser, Osimhen veut encaisser (aussi)


Le club italien ne cache plus son envie de vendre son attaquant, mais pas à n’importe quel prix : 75 millions d’euros, ni plus ni moins. Et si ce montant semblait atteignable pour certains clubs de Premier League, une autre donnée vient compliquer le dossier : les exigences salariales de Monsieur Osimhen.

Car oui, Victor ne compte pas brader son talent. Il exige au moins 12 millions d’euros par an. À ce prix-là, même les clubs anglais, pourtant habitués à sortir le chéquier plus vite que leur ombre, commencent à faire la moue. Les discussions sont laborieuses, et le téléphone de son agent sonne beaucoup… pour peu de résultats concrets.

Manchester United fait semblant d’y croire


Du côté d’Old Trafford, on garde un œil sur le dossier, au cas où le plan A, Viktor Gyökeres, tombe à l’eau. Mais pour l’instant, les 12 millions nets demandés par Osimhen restent une barrière infranchissable. Manchester veut bien acheter un attaquant, mais pas vendre l’âme de son compte en banque.

Galatasaray revient à la charge, mais…


Ironie du sort, le club qui a permis à Osimhen de briller à nouveau serait prêt à lui offrir le salaire de ses rêves. Galatasaray le veut, le chérit, le couvre d’or. Mais il y a un hic : les 75 millions d’euros réclamés par Naples sont hors budget pour les Stambouliotes. Résultat, les négociations tournent en rond, comme un ballon de plage dans une piscine sans vague.

La Premier League ou rien


Selon les derniers échos, Osimhen aurait une préférence très claire pour le championnat anglais. Il rêve de fouler les pelouses de la Premier League, d’y faire trembler les filets et d’y écrire une nouvelle page de sa carrière. Mais pour l’instant, ce rêve est à l’arrêt. Aucune offre sérieuse, aucune avancée majeure. Naples s’inquiète, les supporters s’impatientent, et l’agent de Victor commence à apprendre le sudoku.

Un été à rallonge en perspective ?


Le mercato n’a même pas officiellement commencé que l’on sent déjà les premières tensions. Et dans ce jeu de poker menteur, chacun garde ses cartes bien cachées. Osimhen sait ce qu’il vaut, Naples sait ce qu’il veut, mais personne ne semble prêt à faire le premier pas. Résultat : un dossier qui stagne, une star qui patiente… et un mercato qui promet d’être long, très long.

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