Victor Osimhen, c’est un peu comme une série turque sur Netflix : plein de suspense, des intrigues sentimentales avec les clubs, et une fin qu’on n’avait pas vraiment vue venir. L’attaquant nigérian, de retour à Naples après avoir fait trembler les filets du Bosphore, ne compte pas poser ses valises très longtemps dans la cité napolitaine. Son cœur, et surtout son avenir, semblent déjà ailleurs. Spoiler alert : il aurait dit oui à un nouveau projet… qui sent bon le sable chaud et les pétrodollars.
Galatasaray, merci pour la balade !
Avant de s’envoler vers de nouveaux horizons, Osimhen avait laissé un petit souvenir inoubliable en Turquie. Avec 37 buts et 8 passes décisives en 44 matchs, l’ancien Lillois a marché sur la Süper Lig comme un lion dans une animalerie. Les supporters de Galatasaray en redemandent encore, mais hélas, l’histoire d’amour n’a duré qu’un prêt. Et visiblement, le retour en Italie n’a pas réveillé en lui une quelconque envie de prolonger l’aventure napolitaine.
L’Europe ? Tentant mais non merci
Durant des semaines, son nom a circulé partout : Chelsea, Manchester United, PSG, Juventus… Chaque jour, un nouveau club tombait amoureux de son profil. Mais visiblement, malgré les rumeurs et les déclarations d’intérêts plus ou moins crédibles, c’est vers une destination inattendue que le goleador va s’envoler. Car à ce niveau, ce n’est plus un transfert, c’est un exil doré.
Al-Hilal sort le tapis rouge (et les lingots)
Selon les informations dénichées par le média turc Yeni Akit, Osimhen serait à deux doigts de signer avec Al-Hilal, un des mastodontes du championnat saoudien. Et autant le dire : ils n’ont pas fait les choses à moitié. L’offre serait si astronomique qu’elle ferait pâlir un agent immobilier à Dubaï. Même si les chiffres exacts n’ont pas fuité, on imagine bien que Naples n’a pas eu trop de mal à dire oui, surtout avec une clause libératoire estimée à 70 millions d’euros.
Galatasaray passe à autre chose (et à Nkunku ?)
De leur côté, les dirigeants de Galatasaray, qui auraient adoré garder leur machine à buts, ont dû se résoudre à tourner la page. Le joueur était tout simplement trop convoité, et les finances du club stambouliote n’étaient pas de taille à rivaliser avec les coffres-forts saoudiens. Résultat : le club aurait déjà activé un plan B nommé Christopher Nkunku, histoire de ne pas rester les bras croisés pendant que leur ex-star prépare ses valises pour Riyad.
Conclusion : Osimhen, de Naples au désert, en passant par Istanbul
Victor Osimhen n’est pas juste un attaquant. C’est un phénomène, un globe-trotter du football qui enchaîne les aventures comme d’autres changent de chaussettes. Après avoir fait trembler les défenses européennes, il semble prêt à écrire un nouveau chapitre, dans un championnat en pleine montée de puissance. Et pendant ce temps-là, Naples perd un buteur, Galatasaray pleure un héros, et Al-Hilal… se frotte les mains.