Real Madrid 2026 : une cible surprise déjà dans le viseur de Florentino Pérez

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Florentino Pérez


Un début de saison qui cache déjà des plans futuristes


Au Real Madrid, on ne fait jamais les choses comme tout le monde. À peine la saison 2025/26 lancée, les dirigeants de la Casa Blanca ont déjà la tête à l’été… 2026. Oui, vous avez bien lu. Pendant que certains clubs se demandent encore comment boucler leur mercato actuel, Florentino Pérez et ses stratèges préparent déjà leur prochain coup.


Tout cela dans un contexte particulier : le Real vient de démarrer sa saison par une victoire étriquée contre Osasuna (1-0), grâce à un penalty de Kylian Mbappé, la nouvelle superstar de l’équipe. L’essentiel est acquis : trois points et un sourire en tribune. Mais comme toujours dans la capitale espagnole, l’histoire ne s’arrête pas au coup de sifflet final.


Entre Rodrygo, Vinicius et les rumeurs : un vestiaire sous tension


Pendant que les supporters savourent l’arrivée de Mbappé, d’autres dossiers font déjà trembler les murs du Santiago Bernabéu.


Rodrygo, annoncé avec insistance du côté de Tottenham, n’a pas apprécié son rôle de spectateur lors du premier match. Être sur le banc sous les ordres de Xabi Alonso, ça ne passe pas forcément pour un Brésilien habitué aux projecteurs.


Vinícius Jr., autre pépite auriverde, voit son avenir remis en question : prolongera-t-il son contrat ou choisira-t-il une nouvelle aventure ailleurs ? Mystère.


Résultat : la presse madrilène bruisse de rumeurs, entre départs possibles et futures arrivées. Mais au milieu de ce tumulte, un nom ressort déjà pour 2026.


La piste Hugo Larsson, un pari nordique


D’après les révélations de Fichajes (21 août 2025), le Real Madrid aurait jeté son dévolu sur Hugo Larsson, milieu de terrain suédois de 21 ans évoluant à l’Eintracht Francfort.


Un profil à la fois moderne et prometteur : puissant, technique, discipliné, bref, le genre de joueur qui colle parfaitement à l’ADN du Real. Xabi Alonso, qui connaît mieux que quiconque l’importance d’un milieu solide, aurait soufflé son nom aux dirigeants.


Le plus fou dans l’histoire ? Le Real pourrait casser sa tirelire… mais pas trop. Avec une estimation autour de 40 millions d’euros, Larsson représenterait une recrue « raisonnable » pour un club habitué aux transferts stratosphériques.


Florentino Pérez : pragmatique ou visionnaire ?


Actuellement, Florentino Pérez reste ferme : pas question d’ajouter une recrue tout de suite. Mais l’été 2026 pourrait bien marquer un tournant. Entre l’usure de certains cadres, les incertitudes sur les Brésiliens et l’envie de bâtir une équipe jeune autour de Mbappé et Bellingham, le président madrilène prépare un renouvellement stratégique.


Et c’est là que Larsson devient une carte intéressante. Un joueur jeune, déjà habitué aux joutes européennes avec Francfort, mais encore assez accessible pour ne pas exploser les comptes.


Un choix qui permettrait aussi de se démarquer d’un FC Barcelone annoncé prêt à dépenser 200 millions sur deux stars (Julian Alvarez et Bastoni). Là où le Barça mise sur des gros chèques, le Real pourrait choisir l’intelligence et la patience.


Une bataille à venir sur le marché


Évidemment, penser que le Real Madrid sera seul sur le dossier Larsson relève de la naïveté. Le marché européen adore les milieux scandinaves, réputés pour leur discipline et leur adaptation rapide. On imagine déjà des clubs anglais, allemands et italiens prêts à se jeter dans la mêlée.


La question est donc simple : le Real Madrid saura-t-il séduire le joueur et convaincre Francfort de le laisser partir, au bon prix ? Rien n’est moins sûr. Mais l’histoire récente du Real montre que lorsque Pérez a une cible en tête, il finit souvent par l’obtenir.


Un avenir écrit en blanc ?


Si l’opération se concrétise, Hugo Larsson incarnerait un pari sur le long terme. Un joueur capable d’apprendre aux côtés de Kroos (s’il reste une saison de plus), de Modric (s’il décide de repousser sa retraite une nouvelle fois), ou encore de Tchouaméni et Camavinga. Bref, une transition en douceur entre l’ancien monde et la nouvelle génération.


Et si certains supporters rêvent déjà d’un duo Mbappé–Bellingham pour enflammer l’attaque madrilène, Pérez, lui, pense aussi à la colonne vertébrale de l’équipe. Une leçon de stratégie : avant de briller devant, il faut être solide derrière… et surtout au milieu.


Conclusion : 


Le Real Madrid est comme un joueur d’échecs. Alors que tout le monde s’extasie devant son dernier coup (Mbappé), Pérez regarde déjà deux coups plus loin. Et dans son plan, un certain Hugo Larsson pourrait bien devenir la pièce qui change la partie.

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