On pensait la lune de miel entre Xabi Alonso et le Real Madrid solide comme un mur de Varane à l’époque bénie… mais ces dernières semaines, l’idylle ressemble davantage à un château de sable face à une marée montante. La cote de popularité du coach, longtemps intouchable, s’évapore au fil des résultats, et les dirigeants madrilènes commencent à jeter un œil derrière le rideau, là où se cachent les noms des entraîneurs “au cas où”.
Une spirale qui inquiète même les plus patients
L’épisode Liverpool en Ligue des champions a déjà piqué. Puis deux matchs nuls en Liga contre des équipes dont les budgets ressemblent à l’argent de poche mensuel de Florentino Pérez ont ajouté une couche d’inquiétude. Et comme si la série n’était pas assez agitée, le Real Madrid a remis ça du côté de Gérone : encore un nul (1-1), encore une frustration, encore des débats interminables sur un penalty oublié.
Dans les rédactions espagnoles, on pointe l’arbitrage du doigt. Dans les tribunes, on grince des dents. Dans le classement, c’est encore pire : le Real laisse échapper la première place au profit du Barça, malgré un Clasico remporté. Un scénario que peu imaginaient encore il y a quelques semaines.
Officiellement tout va bien… officieusement, c’est une autre histoire
Florentino Pérez n’a évidemment rien demandé — du moins, pas encore — mais l’ambiance ressemble de plus en plus à celle d’un volcan avant la première secousse. Le Real sort d’une saison blanche, et tout le monde sait à quel point ce genre d’épisode traumatise du côté de Chamartín. L’ombre de l’Atlético, lui aussi dans un chantier permanent, n’est jamais loin, et la pression grimpe doucement mais sûrement.
Les prochains matchs seront scrutés comme s’il s’agissait de finales de Ligue des champions. Et dans les couloirs du Santiago Bernabéu, un nom résonne de plus en plus fort, un nom qui n’est pas inconnu au monde entier.
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Un candidat XXL apparait dans le paysage
Un temps, l’idée d’un retour de Zinédine Zidane a refait surface. Elle revient à chaque crise, comme la déco de Noël qu’on ressort tous les ans. Mais cette fois, le dossier a une expiration rapide : Zidane n’a qu’un objectif en tête, et il porte un drapeau bleu-blanc-rouge. S’il doit revenir dans le football, ce sera sur le banc de l’équipe de France, une fois la Coupe du monde 2026 terminée.
Alors qui peut venir remettre de l’ordre à Madrid ? Selon Fichajes, la piste menant à un certain Jürgen Klopp a pris des proportions inattendues.
Klopp, enfin la bonne fenêtre pour Madrid ?
Le technicien allemand, qui a dynamité l’Europe avec Liverpool, a récemment réfuté toute idée de retour chez les Reds. Un refus qui a fait tiquer beaucoup d’observateurs : pourquoi laisser une porte fermée à Liverpool… si ce n’est pour en ouvrir une bien plus grande, en Espagne ?
Florentino Pérez, lui, n’a jamais perdu Klopp des yeux. Il l’a déjà approché, plusieurs fois même, mais les planètes ne s’alignaient jamais. Aujourd’hui, l’Allemand est libre de tout engagement, frais, rechargé et peut-être prêt à endosser le plus gros défi de sa carrière.
Et pour le Real Madrid, qui adore sortir des cartes “effet spécial” quand tout tremble, Klopp serait un plan B de luxe, un plan B qui aurait des allures… de plan A.