Luka Modric quitte le Real : la planète foot se l'arrache, même les clubs où on joue en tongs

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Luka Modric


Treize ans à envoûter le Bernabéu, des extérieurs du pied venus d’une autre galaxie, une vitrine pleine à craquer de trophées (28 au total !), un Ballon d’Or glané en 2018… et voilà que Luka Modric plie bagage. Oui, El Maestro tourne la page du Real Madrid. Mais attention, il ne raccroche pas encore les crampons. Non, non. Le Croate n’a pas dit adieu au foot, juste au club royal. Et forcément, ça crée une file d’attente longue comme un discours de fin de saison de Carlo Ancelotti.


À bientôt 40 ans – qu’on dirait plutôt 30 quand il distribue les ballons – Modric devient officiellement agent libre. Et comme tout joueur mythique qui entre en pré-retraite, il attire des clubs... disons, ensoleillés. Selon Fichajes, trois destinations exotiques ont déjà activé le mode « opération séduction » : Al-Nassr (Arabie saoudite), l’Inter Miami (États-Unis) et le Chicago Fire (États-Unis aussi, mais avec un peu plus de pluie).


Des vacances payées en millions, mais avec ballon inclus


Du côté d’Al-Nassr, on rêve d’une doublette croato-croate en or massif : Modric-Brozovic, comme à la belle époque de la sélection. Là-bas, on ne joue pas pour les points UEFA, mais pour le prestige, les billets violets et quelques passes laser en prime time.


Pendant ce temps, chez l’Inter Miami, David Beckham se frotte les mains. Son rêve ? Aligner Luka aux côtés de Lionel Messi. Oui, rien que ça. Le concept : une retraite dorée, version All-Star. Quant à Chicago, ils visent carrément une autre association de gala : Modric et… Kevin De Bruyne ! Bon, il faut encore que le Belge dise oui, mais sur le papier, ça aurait de la gueule.


Une dernière danse avant 2026


Pas la peine d'espérer le revoir en Premier League ou dans une autre grande écurie européenne. Modric ne signera pas pour quelques miettes et une place sur le banc. Non, monsieur veut du soleil, des caméras et pourquoi pas quelques feux d’artifice à chaque passe réussie.


Ce qui est certain, c’est que le maestro ne raccrochera pas avant la Coupe du Monde 2026, prévue... aux États-Unis. Comme par hasard. Tout porte à croire que sa prochaine destination sera donc une rampe de lancement vers ce dernier défi. Une tournée d’adieu version XXL, en mode The Last Waltz, mais avec des corners millimétrés et des frappes enroulées.


Luka Modric, bientôt sur les plages de MLS ou dans les dunes saoudiennes ?


Le suspense reste entier, mais une chose est sûre : ce n’est pas la fin, juste le dernier chapitre d’un roman déjà légendaire. Et pour ceux qui pensaient que Luka allait prendre sa retraite avec un plaid sur les genoux, détrompez-vous. Il vise encore les étoiles. Et cette fois, elles brillent sous un autre ciel.

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