Le Real Betis veut acheter… la moitié d’Antony : Manchester United prêt à couper la poire en deux !

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Antony


Chez Manchester United, on pensait avoir fait un braquage en recrutant Antony pour près de 100 millions d’euros. Deux ans plus tard, c’est plutôt un casse-tête grandeur nature. Entre les dribbles qui tournent en rond, les stats qui n’ont jamais décollé et un prix d’achat qui donne encore des sueurs froides aux comptables du club, le Brésilien est devenu l’un des symboles des flops de l’ère post-Ferguson. Bref, aujourd’hui, plus personne ne sait vraiment quoi faire de lui.


Et là, comme un rayon de soleil andalou en plein crachin mancunien, le Real Betis débarque avec une idée folle : acheter seulement la moitié d’Antony. Oui, oui, vous avez bien lu. Pas le pied gauche ou la coupe de cheveux, non. Juste 50 % de ses droits économiques, comme on partage une pizza entre potes quand on a plus trop de budget.


Le casse-tête Antony : un joueur entier mais une offre coupée en deux


Depuis son prêt hivernal en Andalousie, Antony semble avoir retrouvé un peu de ses sensations. Le soleil espagnol lui réussit mieux que le ciel gris de Manchester. Résultat : le Betis est séduit et aimerait bien le garder. Mais voilà, payer le prix fort ? Hors de question ! Même en Andalousie, les miracles ont un budget.


Du coup, le club propose une solution bien connue dans le foot espagnol : acheter la moitié du joueur, comme l’avait fait le Barça avec Ez Abde. Manchester garderait une option de rachat en cas de montée en puissance, et le Betis limite les risques financiers. Un compromis parfait entre “on ne veut plus de lui” et “on ne veut pas trop perdre non plus”.


Manchester United : la revente, mais version puzzle


Cette stratégie, aussi étrange qu’ingénieuse, permettrait à Manchester United de se débarrasser (un peu) de son boulet doré tout en gardant un œil sur une éventuelle résurrection. Si Antony explose en Liga, les Red Devils pourront toujours revenir le chercher. Et sinon ? Eh bien, ils toucheront une partie du pactole si revente il y a. C’est un peu comme vendre un ticket de loto à moitié prix en espérant qu’il rapporte gros.


Tout le monde est gagnant (sauf ceux qui ont cru qu’Antony valait 100M)


Dans cette histoire, personne ne perd vraiment la face. Le Betis récupère un joueur revigoré, United allège ses comptes, et Antony retrouve un club qui lui donne un vrai rôle sur le terrain. Et le meilleur dans tout ça ? C’est que Manchester n’a pas besoin de lui offrir un billet retour. L’avion ne sera réservé que pour 50 % de sa personne. Pratique.

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