Quand Cole Palmer troque Stamford Bridge pour le carnaval de Notting Hill

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Cole Palmer


De l’infirmerie au dancefloor de Londres


Pendant que ses coéquipiers de Chelsea transpirent contre West Ham, Cole Palmer, lui, a pris une tout autre direction. Touché à l’aine et donc forfait pour la rencontre, l’attaquant anglais n’a pas passé son week-end enfermé avec une bouillotte. Non, monsieur a préféré aller tester la Fashion Week version caribéenne : le mythique carnaval de Notting Hill.


Ce rendez-vous, qui réunit chaque année des foules immenses dans les rues de Londres, est une véritable ode à la culture caribéenne, entre steel drums, couleurs flamboyantes et bonne humeur contagieuse. Bref, ambiance 100 % “Good vibes only”, très loin de l’intensité de la Premier League.


Cole Palmer en mode « Rasta Rockett »


Pour se fondre dans la masse – ou du moins essayer –, Palmer a sorti un déguisement à mi-chemin entre un hommage à ses origines et une masterclass de camouflage. Au menu :


un masque digne des années 2020, pour garder un côté mystérieux,


un bonnet rasta multicolore équipé de dreadlocks intégrées,


et la touche finale : des lunettes de soleil XXL, pour l’effet “incognito mais pas trop”.


Résultat : un Cole Palmer méconnaissable, version “Rasta Rockett”, prêt à défiler comme s’il s’agissait d’un quart de finale de Coupe du Monde.


Quand le football flirte avec la culture


Ce n’est pas la première fois qu’un footballeur s’invite dans un événement populaire loin des terrains. Mais chez Palmer, il y a comme un petit clin d’œil personnel. Descendant d’un grand-père originaire de Saint-Kitts-et-Nevis, le joueur des Blues a profité du carnaval pour rappeler ses racines caribéennes à travers son look. Une manière élégante (ou presque) de mixer football, héritage et esprit festif.


 

Chelsea en manque… mais Palmer pas en panne d’idées


Sur le terrain, les Blues auraient sans doute aimé profiter de sa créativité face à West Ham. Mais en coulisses, Palmer a trouvé une autre façon de faire le show. Son absence sportive s’est transformée en présence culturelle, et il s’est offert un bain de foule qui sentait plus la fête de quartier que la pelouse de Stamford Bridge.


De là à dire que Chelsea a perdu un match, mais que Londres a gagné une star du carnaval, il n’y a qu’un pas.

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