
Bienvenue dans le supermarché du football : rayon “libres en 2026”, servi par Florentino Pérez
Au Real Madrid, on ne fait jamais les choses à moitié. Quand les autres clubs s’écharpent pour signer un joueur à 100 millions, Florentino Pérez se contente d’un petit clin d’œil, et hop, le joueur débarque libre… avec les poches pleines mais sans racheter un ticket.
Après le braquage légal Kylian Mbappé, l’opération “David Alaba sans clause” et les œillades envoyées à Trent Alexander-Arnold, le club merengue continue son pèlerinage dans le marché des fins de contrats. Cette fois, cap sur 2026, et attention : la liste de courses est prête, et elle pourrait faire trembler l'Europe.
Objectif 2026 : quatre pépites dans le viseur, zéro euro sur la table (en théorie)
Selon Defensa Central, les Madrilènes ont déjà coché quatre noms dans leur carnet de chasse. Tous partagent un point commun : ils seront techniquement gratuits en juin 2026. Autrement dit, le Real rêve de faire du football de luxe… en mode économies.
Ibrahima Konaté : le roc de Liverpool déjà prêt à faire ses valises ?
C’est presque devenu une telenovela. Ibrahima Konaté, patron de la défense des Reds, commence sérieusement à regarder vers l’Espagne. Liverpool lui tend des prolongations comme des roses un soir de Saint-Valentin… mais lui, il regarde Madrid comme s’il voyait la Tour Eiffel. L’ex de Leipzig aurait une idée bien arrêtée : jouer un jour au Bernabéu. Et ça, Florentino adore.
Dayot Upamecano : l’option "copain de Konaté" activée
Si Konaté se fait désirer ou change d’avis, pas de panique. Le plan B est Dayot Upamecano, son compère d’armes du RB Leipzig. Actuellement au Bayern Munich, le solide défenseur français a un profil presque jumeau, la connexion WiFi en moins. Le Real le surveille de près. Normal : dans la famille défense centrale made in France, il coche toutes les cases.
Quinten Timber : le frère jumeau que personne n’avait vu venir
Moins connu que son frère Jurrien (le Gunner d’Arsenal), Quinten Timber est en train de se faire un nom à Feyenoord. Et pas n’importe quel nom. Polyvalent à souhait, capable de jouer 6, 8, ailier ou même "milieu-tout-terrain-qui-ne-fatigue-jamais", il attire l’œil madrilène. En 2026, quand son contrat arrive à expiration, il pourrait bien s’envoler vers la Casa Blanca… surtout si Xabi Alonso, fin connaisseur du poste, valide l’opération.
Ethan Nwaneri : le bébé génie d’Arsenal sur les radars
Du haut de ses 17 ans (et encore, il paraît qu’il avait un ballon dans le berceau), Ethan Nwaneri est déjà la star des U23 d’Arsenal. Si les Gunners espèrent le prolonger très vite, rien n’est encore signé. Et si Florentino Pérez lui souffle un avenir en blanc et or, difficile d’imaginer qu’il ne tende pas l’oreille. Le Real aime miser sur les jeunes prodiges. Et là, on parle d’un gamin qui pourrait très vite valoir des dizaines de millions… ou rien du tout, s’il vient libre.
Pourquoi acheter cher quand on peut recruter malin ?
Depuis quelques années, le Real Madrid a changé son fusil d’épaule. Fini les galactiques achetés à prix d’or chaque été (Coucou Bale, coucou Hazard). Place aux talents mûris, visés longtemps à l’avance, séduits par le prestige du club, pas juste le chèque. Et surtout : place aux transferts gratuits, où seul le salaire (et la prime à la signature, hein, on se comprend) pèse lourd.
Ce modèle a ses avantages : pas de bras de fer avec les clubs vendeurs, pas d’enchères publiques, pas de scandales. Juste du timing, de la patience… et beaucoup de charisme.
Le Real, toujours roi du timing
Les Merengues ne se contentent plus de jouer les matches sur le terrain. Ils jouent aussi à l’horloge du mercato, en mode sniper : un an, deux ans à l’avance. Le recrutement 2026 est déjà en marche, et ça promet.
Alors qu'on se prépare à suivre le prochain feuilleton sur une probable superstar en fin de contrat, Florentino Pérez et ses hommes tissent leur toile, loin du bruit, mais avec une efficacité chirurgicale.
Conclusion : ne jamais sous-estimer un Florentino qui ne sort pas son chéquier
Dans le football moderne, où les sommes deviennent indécentes et les clauses de libération font tourner la tête, le Real Madrid prouve qu’on peut toujours recruter intelligent. Ces quatre noms pour 2026, c’est peut-être une nouvelle génération dorée qui se profile… sans casser la tirelire (ou presque).