
On pensait que le feuilleton était clos, que les rumeurs s’étaient envolées comme des confettis un soir de titre. Et pourtant, Mohamed Salah n’a pas fini d’enflammer les colonnes transferts. Fraîchement prolongé à Liverpool jusqu’en juin 2027, l’attaquant égyptien pourrait bien être l’un des grands noms du mercato à surveiller de près... voire de très près.
Car si Salah a rempilé avec les Reds, ce n’est pas pour autant que son avenir sera exclusivement rouge. Il y a des signes qui ne trompent pas, des regards appuyés qui en disent long. Et du côté de l’Arabie saoudite, on ne regarde pas Salah comme un simple joueur de football. Non, là-bas, c’est presque une affaire d’État.
Un contrat prolongé, mais pas un avenir scellé
Fin de contrat en 2027, disaient-ils. Paix retrouvée avec les supporters, stabilité dans le vestiaire, confiance renouvelée avec Jürgen Klopp (ou son successeur, qui sait ?). Et pourtant, le marché des transferts a cette magie bien à lui : il ne dort jamais, il rêve, il imagine, il spécule. Et Salah, lui, reste une star au sommet de son art.
À 32 ans, le Pharaon d’Anfield sort d’une saison tonitruante : buts, passes décisives, leadership et un trophée de Premier League pour couronner le tout. On aurait pu penser que cette prolongation allait sceller son avenir, au moins pour un temps. Mais c’était sans compter sur les sirènes du désert.
L’Arabie saoudite sort le chéquier XXL
Selon les indiscrétions venues d’Espagne – oui, même là-bas on garde un œil sur Salah – la Saudi Pro League a un plan. Un plan simple mais ambitieux : faire revenir l’un des plus grands joueurs arabes de l’histoire sur ses terres spirituelles. Pas demain, pas dans six mois, mais en 2026, lorsque Salah entrera dans sa dernière année de contrat avec Liverpool.
À ce moment-là, le roi d’Égypte aura 34 ans, et les Reds pourraient se montrer plus flexibles. Car entre le garder libre jusqu’en 2027 et le vendre pour un joli pactole en 2026, il y a un choix stratégique à faire. Et Liverpool, qui ne roule pas (encore) sur l’or comme certains clubs du Golfe, pourrait bien être tenté par l’offre mirobolante que prépare Riyad.
Une retraite dorée dans le désert ?
Et du côté de Salah, est-ce que l’idée séduit ? Tout laisse à penser que oui. Rejoindre une ligue où son image est vénérée, où son identité culturelle et religieuse est pleinement partagée, et où le salaire pourrait atteindre des sommets stratosphériques... cela a de quoi faire réfléchir, même les plus fidèles des Reds.
Ce ne serait pas un départ en catimini, ni un exil forcé. Ce serait une dernière danse, un adieu en douceur, sous les projecteurs d’un championnat en pleine mutation, où stars et pétrodollars se croisent à chaque coin de pelouse.
Conclusion : Salah 2026, le compte à rebours est lancé
Alors que son avenir semblait tout tracé sur les bords de la Mersey, Mohamed Salah pourrait bien s’offrir une dernière aventure, au soleil et sous les projecteurs de la Saudi Pro League. Rien n’est signé, rien n’est acté, mais les planètes semblent s’aligner pour un départ d’ici un peu plus d’un an. Et entre nous, si Salah finit par troquer les pluies de Liverpool pour les dunes dorées de Riyad, ce ne serait pas une trahison. Juste le dernier chapitre royal d’une légende bien écrite.