Nouveau coach, nouvelles idées, nouvelles obsessions. Depuis l’arrivée de Xabi Alonso aux commandes du Real Madrid, les rumeurs s’enchaînent plus vite qu’une contre-attaque de Vinicius Jr. Et dans ce tumulte de noms, un jeune prodige d’Arsenal se retrouve tout à coup dans le viseur des dirigeants madrilènes. Gratuitement, en plus. Oui, vous avez bien lu : gratis, zéro euro, nada.
Le testament tactique de Xabi Alonso : redessiner le flanc gauche
À peine assis sur le trône laissé par Carlo Ancelotti, Xabi Alonso a sorti sa to-do list. Tout en haut, écrit en majuscules : "TROUVER UN LATÉRAL GAUCHE QUI COURT, QUI CENTRE, ET QUI NE DORT PAS EN DÉFENSE." Bref, un profil rare, un joyau que l’on ne trouve pas à chaque coin de pelouse.
C’est dans cette quête un peu folle que le Real aurait repéré un jeune talent londonien, à peine majeur mais déjà très prometteur : Myles Lewis-Skelly, 18 ans à peine, pur produit de l’académie d’Arsenal. Le gamin sort d’une saison pleine de promesses et pourrait bien être le prochain coup malin des Merengues.
Myles Lewis-Skelly : le bon plan qui sent le vol légal
Selon les indiscrétions de Transferfeed, le Real Madrid n’est pas juste intéressé : il serait prêt à foncer tête baissée pour s’offrir les services de Lewis-Skelly sans verser un seul centime. Pourquoi ? Parce que le joueur arrive en fin de contrat en juin et n’a, pour l’instant, rien signé de nouveau avec les Gunners.
Le Real rêve donc d’un scénario à la Trent Alexander-Arnold, version madrilène. Recruter un futur grand, avant tout le monde, et le façonner à la sauce Bernabéu. Mais attention : Fabrizio Romano, le gardien du temple des transferts, assure que le joueur serait proche d’un accord pour prolonger avec Arsenal. De quoi refroidir les ardeurs ? Pas vraiment.
Florentino Pérez, avocat du diable… et des bons coups
Comme souvent, Florentino Pérez compte bien mettre la pression. Et tant qu’à faire, il tente un doublé gagnant en avançant aussi ses pions sur Álvaro Carreras, ex-espoir formé au club, désormais dans le viseur pour renforcer la même zone du terrain. Parce que chez les Galactiques, on aime quand ça fuse sur les ailes — et qu'on peut doubler les postes avec deux jeunes aux dents longues.
Une opération séduction lancée côté Madrid
Avec un coach qui veut imposer sa griffe, un président qui adore les jolis coups gratuits, et un joueur talentueux à portée de clic, le cocktail semble parfait. Reste à savoir si Lewis-Skelly choisira les tapas de Madrid plutôt que les fish & chips londoniens.
Une chose est sûre : l’été s’annonce bouillant sur l’aile gauche. Et à ce rythme, même le gazon du Bernabéu risque de rougir.